Depuis 2015, les réparations automobiles ne se font plus obligatoirement avec des pièces neuves. Afin de promouvoir les produits issus de l’économie circulaire, cette pratique s’étend, notamment aux 2 et 3 roues… Depuis 2015, lorsqu’un professionnel intervient pour effectuer des réparations sur une voiture, il doit proposer à son client d’utiliser des pièces issues de l’économie circulaire en lieu et place de pièces neuves. Afin de promouvoir de dispositif d’utilisation de pièces reconditionnées, le dispositif est étendu à d’autres types de véhicules. Ce sont en effet les véhicules 2 et 3 roues qui pourront également en bénéficier à partir du 1er octobre 2024. Un texte détaille les pièces qui pourront être concernées, ce sont : Plusieurs cas permettent aux professionnels de se dispenser de proposer des pièces issues de l’économie circulaire, et notamment lorsque : Réparations de véhicules : les pièces reconditionnées pour tout le monde ? Les 2 roues et 3 roues profitent de nouvelles règles
<li>les pièces de sellerie ;</li> <li>les vitrages non collés ;</li> <li>les pièces optiques ;</li> <li>les pièces mécaniques ou électroniques, à l’exception de celles faisant partie : <ul> <li>des axes des roues ;</li> <li>des garnitures de freins ;</li> <li>du cadre du berceau ou pièce structurelle du châssis ;</li> </ul> </li> <li>les pièces de rétroviseur et les réservoirs à carburant.</li>
<li>des pièces issues de l’économie circulaire ne sont pas disponibles dans un délai raisonnable ;</li> <li>le professionnel estime que l’utilisation de pièces issues de l’économie circulaire présenterait un risque pour l’environnement, la santé publique ou la sécurité routière.</li>